Et dire…

Et dire que je n’ai toujours pas vu OSS 117, ni X-Men 3. Il ne doit plus y avoir aucun cinéma qui passe encore ces pellicules antédiluviennes d’il y a quelques mois…

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Confort vs. Esthétique

Je déteste ces tongs que portent les filles l’été, en pleine ville,
démarche en pattes de canard,
clac-clac dans les escaliers
schlip-schlip sur l’asphalte.

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L’oeil graphique

Lundi, pour la première fois, j’ai emporté mon appareil numérique pour aller au boulot. Cela change la vie. On a l’oeil graphique : on regarde mieux, tout, à l’affût de toute géométrie, construction, idée, mise en scène que l’on pourrait capturer, figer sur le capteur numérique. Il y a quelques années, j’avais formulé et mis en pratique un aphorisme qui était On regarde souvent ses pieds, on ne regarde jamais en l’air. Depuis, je regarde souvent vers le ciel, on découvre toutes sortes de choses qui nous surplombent, des trucs sur des toits, des fenêtres ouvertes, sans parler des nuages. Il y a un dicton aux échecs qui dit si tu ne sais pas quoi jouer, joue tes cavaliers. Mon diction serait Si tu ne sais pas quoi regarder, regarde les nuages.

Avoir l’oeil graphique, c’est regarder mieux, ne plus se contenter de voir passivement, mais rechercher activement ce qui pourrait mériter une (bonne) photo. Évidemment, j’en ai déjà parlé avec plusieurs ami(e)s, on peut facilement tomber dans la compulsion :

  • tout regarder à travers un cadrage mental
  • trafiquer la réalité, déranger la nature
  • ne plus regarder vraiment, et ne découvrir ce qu’on a « vu » qu’au moment où l’on visualise les photos

Bref, trop d’oeil graphique tue l’oeil graphique. Je n’en suis pas encore là, heureusement.

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Livre lu Andrea Camilleri : la démission de Montalbano

Rien à signaler. J’ai déjà dit le bien que je pensais de cet écrivain et de son héros. J’aime bien, dans La démission de Montalbano (Pocket, n° 12 473, 2005, 340 p.) le fait que ce soit une succession de nouvelles (comme cet autre recueil, La peur de Montalbano), j’apprécie toujours autant les sicilianismes très subtilement traduits par Serge Quadruppani, les états d’humeur (souvent noire) du commissaire, ou les délires verbaux de Catarella. Mais j’aimerais bien qu’Andrea Camilleri nous mette un peu plus de bonne nourriture, des plats, des descriptions, je sens que ça s’essouffle un peu par rapport à la grande époque. Cela dit, il se rattrape avec Les arancini de Montalbano, intrigue où Montalbano a 24h pour jouer les Jack Bauer, sinon un plat d’arancini va lui passer sous le nez.

Pas de citation.

Correspondances : déjà faites. Mais depuis que Camilleri m’en parle, je vais peut-être tester un jour les écrits de Sciascia.

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Livre lu Herman Melville : Moi et ma cheminée

D’Herman Melville, j’ai lu deux ou trois fois Moby Dick, superbe roman et quête furieuse du Capitaine Achab, et deux ou trois fois Bartleby, qui est probablement pour moi LA nouvelle. J’avais cité « une intrigue à la Paul Auster », car il me semble que La chambre dérobée, dudit Paul Auster (dans Trilogie New Yorkaise) reprend un peu le même thème.

Bref, cette fois-ci, il s’agit de Moi et ma cheminée (Seuil, R140 hors commerce, 1984, 160 p.). Ces trois courts récits sont intialement parus entre 1854 et 1856 dans des revues, et n’ont été traduits en français qu’en 1984.

Pourquoi ai-je acheté ce livre ? Parce que Philippe Delerm en parlait dans Mr. Mouse ou la métaphysique du terrier, en citant les premiers mots de Moi et ma cheminée, que je vous cite à nouveau :

Moi et ma cheminée, tête grise et vieux fumeurs, nous habitons à la campagne. J’ose même dire que nous y devenons d’authentiques autochtones ; et particulièrement ma cheminée qui s’y enfonce un peu plus chaque jour.
Herman Melville, Moi et ma cheminée, Seuil, R140 hors commerce, 1984, p. 21.

Ce livre m’a énormément plu, par ce que j’y ai retrouvé de style Melvillien, mélange difficilement imitable d’humour flegmatique, d’observations humaines et de maîtrise parfaite de la langue et des constructions de phrases. Lire du Melville, c’est presque comme lire du Jules Romains : on a l’impression d’être intelligent, et l’humour est toujours sous-jacent.

…je commençai par mener Monsieur Scribe à la cave, à la racine de toute l’affaire. Lampe en main, je l’y précédai : car si, en haut de l’escalier, il était midi, en bas c’était la nuit.
On se serait cru dans les pyramides ; et moi, levant haut ma lampe d’une main et désignant de l’autre, dans l’obscurité, la masse de la cheminée blanchie par la vieillesse, je ressemblais à un guide arabe montrant les vétustes poussières du mausolée du grand dieu Apis.
Herman Melville, Moi et ma cheminée, Seuil, R140 hors commerce, 1984, p. 63-64.

Et puis on y trouve une sagesse que j’aurai peut-être un jour, sur le tard, quand je me serai débarrassé de ma pharmacodépendance aux fils RSS, e-mails et autres nouveautés papillonnantes qui découpent certaines de mes journées en zapping permanent.

Vieux moi-même, je suis sensible à l’ancienneté des choses ; et c’est pourquoi principalement j’aime le vieux Montaigne, le vieux fromage et le vin vieux ; pourquoi j’évite la jeunesse, les petits pains chauds, les livres à la mode et les pommes de terre nouvelles.
Herman Melville, Moi et ma cheminée, Seuil, R140 hors commerce, 1984, p. 51.

Correspondances : Je pense que, qui aime Herman Melville aime John Steinbeck, et réciproquement. Les deux auteurs sont américains, ils ont oscillé entre des oeuvres profondes, mystiques ou métaphysiques, et des amusettes, des textes courts, qui ne sont pas inférieurs en qualité pour moi. Ces textes servent au contraire à souligner l’exceptionnel travail humain d’observation de leurs semblables, qu’ils appliquent leurs observations à écrire des pavés comme Moby Dick ou Les raisins de la colère, ou des récits plus courts et plus légers comme Moi et ma cheminée ou Rue de la sardine.

[Jimmy Rose] était par nature un homme à femmes. Et comme la plupart des profonds adorateurs du beau sexe, il n’avait jamais aliéné sa liberté de s’adonner au culte général, en accomplissant le sacrifice volontaire de sa personne sur l’autel.
Herman Melville, Jimmy Rose, in Moi et ma cheminée, Seuil, R140 hors commerce, 1984, p. 108.

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Livre lu Philippe Labro : Franz & Clara

Dans son écriture fluide, Philippe Labro est facile à lire. J’ai lu Franz & Clara (Albin Michel, juin 2006, 190 p.) en deux heures, ou moins. C’était un cadeau, et je pense que je ne l’aurais pas lu (encore moins acheté) s’il ne m’avait pas été offert.

Cela dit, une fois cette descente en flammes faite, Philippe Labro écrit bien, et tant qu’à écrire fluide, il évite au moins les rodomontades d’un Alexandre Jardin. L’histoire qu’il décrit, vue essentiellement par les yeux d’une violoniste de 20, puis 30 ans, parle d’amour et de coeur brisé, d’enfance et de philosophie de la vie. Sa rencontre avec Franz (un enfant de 12 ans) agit en même temps comme un calmant, et comme un catalyseur d’une nouvelle existence. J’aime bien ce thème du phénix, dont il faudra que je vous reparle. Leurs dialogues tiennent de la philosophie de la vie. C’est, finalement, un livre qui a peut-être autant de profondeur, sinon plus, que L’Alchimiste, de Paulo Coelho. Mais ça ne veut pas dire grand chose : je n’avais pas tellement aimé ce livre. Mes amis me disaient « ce livre a changé ma perception de la vie » et je répondais « oui, m’enfin, c’est juste un gars qui a réécrit Le Petit Prince pour des adultes… »

Pas de citation.

Pas de correspondance, sinon une correspondance générale : tous ces auteurs grisonnants, parfois académiciens, qui publient sous de belles couvertures des histoires d’enfance, de femmes, de bonheur de vivre et de menus incidents. On est loin de Jack London…

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Pensées du 20 juillet 2006

Je profite d’un trajet en train pour mettre à jour mes pensées, et comme je pense à vous, mes lecteurs chéris, je vous livre dans les billets qui vont suivre une mise à jour, ainsi que du stock de victuailles, avant de vous la souhaiter bien belle, et de me taire pendant plusieurs semaines (probablement à partir de la dernière semaine de juillet, assurément les 3 premières semaines d’août, et peut-être aussi la 4ème). Vous voilà prévenus.
Si vous avez des fringales de lectures, allez sur les blogs des commentateurs, regardez les blogs qu’ils lisent, et back-lisez les messages (vous pouvez aussi tester les produits délirants, comme la broche à guimauve rotative). On trouve des merveilles, par exemple je viens de découvrir Bon pour ton poil (grâce au blog de Mitternacht), qui est un joyeux délire très bien écrit. Je pourrais presque écrire ça, si j’étais plus doué. C’est dire…

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Lithochromie Tondu

Après la douche,
Tout était en épis,
indisciplinés, tout fouillis.

Bourdonnement de la tondeuse,
Qui crée des coupes claires,
Abeille à mandibules
Qui rumine des follicules.

Nouvelle liberté désormais.

Après le rosé du soir,
C’est la rosée du petit matin.

Mes pensées s’évaporent sans effort
Comme des brouillards champêtres.

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Lithochromie

On se dit d’abord :
– Ah ouais, c’est intelligent, il est en train de peindre la porte par laquelle il pourra sortir…

Et puis on se demande :
– Mais où se tenait-il, quand il peignait le balcon ?

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Batana Emmorfiler (s’)

Dans la rubrique batana, je veux celle qui arrive quand il fait beau, chaud, et qu’on n’aime pas tuer les araignées.

S’emmorfiler : V. t. En marchant, se prendre une toile d’araignée sur le visage.

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Livre lu Gustav Meyrink : Le Golem

J’ai mis du temps à lire ce livre, dense et poétique, mystique et romanesque. Le Golem, de Gustav Meyrink (Stock, collection Bibliothèque cosmopolite, 330 p.) se situe dans le ghetto de Prague, et joue avec les personnages, les identités, et la mystique. C’est un roman très agréable à lire, parce que mystérieux : dans les différentes intrigues (drame, roman d’amour, quête spirituelle…) il y a toujours une intrigue « terre à terre » qui nous maintient en éveil, tandis que, par bribes, les autres intrigues surgissent ou se dénouent.

Correspondances : elles sont multiples. Le héros me fait penser au Robert Pirsig du Traité du zen et de l’entretien des motocyclettes, un homme sans passé, sans souvenirs, qui essaie prudemment de retrouver celui qu’il était… sans redevenir fou.

En même temps, il y a une grande poésie dans ce roman :

Dans la neige bleuie par la nuit, je descendis en ville. Les réverbères me dévisageaient avec des yeux clignotant de surprise et des sapins entassés en monceaux sortaient mille petites voix qui parlaient de clinquants, de noix argentées et de Noël proche.
Gustav Meyrink, Le Golem, Stock, 2005, p. 101.

Et cette poésie, ainsi que cette ambiance de ghetto juif, me font penser à Erri de Luca, dans Montedidio :

« Lui avec les pensées, il fait comme avec les chaussures, il les retourne sur sa caisse et les répare. »
Erri De Luca, Montedidio, Gallimard, 2002, p. 151.

Et quand le narrateur a passé une après-midi avec une femme dont il est devenu amoureux :

L’éclat d’un court après-midi avait fait de moi et pour toujours un étranger dans mon propre logis.
Quelques semaines, peut-être même quelques jours seulement et le bonheur sera passé sans rien laisser derrière lui qu’un beau souvenir douloureux.
Et alors ?
Alors j’étais sans asile ici et là, sur l’un et l’autre bord de la rivière.
Gustav Meyrink, Le Golem, Stock, 2005, p. 208.

Enfin, quand ils parlent de kabbale, j’y retrouve des accents d’Albert Cohen (Les Valeureux, Mangeclous, Solal) du côté éclairé, et de Lawrence Durrell (Le Quatuor d’Alexandrie) pour le côté plus obscur, ou mystique (qui sait encore ce qu’est un boustrophédon ?)

Et pour finir :

Le passeur me fait traverser la Moldau sur son bachot […]
« Je vous dois combien, Monsieur Tschamrda ?
– Un kreutzer. Si vous m’aviez aidé à ramer, ça vous aurait coûté deux kreutzers ».
Gustav Meyrink, Le Golem, Stock, 2005, p. 323.

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Tisane d’été

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Bratatatata !

Il y avait la Mésopotamie, l’Exopotamie explorée par Boris Vian, on a désormais la Mésothérapie. ça fait bratata dans les lombaires, à coups de petites aiguilles piquantes, et c’est censé faire passer le lumbago.

Rencontre avec un médecin sympathique, parce que débonnaire et catégorique dans son côté non catégorique.

– L’acupuncture ? ça marche, mais on ne sait pas comment ça marche. Tenez, un exemple, le lumbago, c’est inexpliqué. Des chercheurs découpent des petits bouts, de plus en plus fins, pour leur recherche, mais le lumbago, c’est du global, de la tête, du corps, on ne sait pas.

Et dans une veine différente (je dis veine, c’est une image, la mésothérapie est intradermique) :

– Courir ? ça ne fait pas maigrir…
– Ah.
– Bon, cela dit, c’est bon pour la santé, hein, mais pour maigrir, c’est pas ça…
– Ah.
– Il faut pas manger de pain.
– Ah.
– Pas de fromage.
– Ah.
– Pas boire d’alcool.
– Ah.

Tiens, et un malheur n’arrivant jamais seul, je prends quelques jours, là. C’est Madrid, avec sa cuisine à l’huile d’olive, ses cañas fraiches et ses Riojas fruités. Et pour le jogging, y fait trop chaud, pas possible. D’autant plus qu’après un lumbago, le repos à l’ombre est primordial.
Hasta la vista, muchachos.

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Listes

Cela entre en double contradiction (au moins) avec mon thibillet précédent, mais je suis en train de travailler sur mon petit portable, celui que j’adore, il commence à être lent, mais je l’avais surnommé Rolls-Mops, et il l’est toujours dans mon esprit.

Mais ce n’est pas un portable que j’utilise souvent. Uniquement quand je veux me mettre au soleil, quand je ne peux pas utiliser un des deux autres ordinateurs que j’ai achetés (Lulabelle et Bombinette), ou que j’ai un lumbago.

Bref, je n’utilise pas souvent Rolls-Mops, et j’utilise encore moins souvent la barre de recherche de Yahoo! France. Mais j’utilise quotidiennement Mozilla Firefox, ce petit chéri de renard-panda rouge (j’en ai vu un en vrai) qui se faufile dans les pages web avec l’éclair ultraluminique de sa queue incandescente.
Or Firefox, le goupil susdit, garde en mémoire mes recherches passées.
Donc je retrouve là, tout de suite, en attendant que mon riz basmati soit cuit, une liste de mes précédentes requêtes sous la barre de recherche de Yahoo! France (Rappel : outil que j’utilise très rarement, sur un ordinateur que j’utilise rarement). Le résultat est là :

  1. Bodie Merton
  2. Thibierge
  3. aubenas
  4. cinéma Asnières
  5. cinéma Colombes
  6. foie de lotte
  7. minneapolis
  8. minnéapolis
  9. neige
  10. obligations

C’est pas du psychédélique, ça ? Syd Barrett, dans son paradis artificiel, doit en faire des loopings…

Et une autre liste, celle de ma dernière commande de livres sur PriceMinister :

  • Le Hameau, Jean Giono
  • Ennemonde et autres caractères, Jean Giono
  • Fragments d’un Paradis, Jean Giono (dans la délectable collection de L’imaginaire, Gallimard)
  • Bouddhisme, Taoïsme et Zen, écrit par un gars
  • Ma cheminée et moi, Herman Melville (auteur admirable, pour Moby Dick et Bartleby une intrigue à la Paul Auster et redécouvert avec Philippe Delerm, et le tragique Pour saluer Melville de Giono)

Sans parler de la dizaine de livres qui m’attend sur l’étagère « Flâneries et autres appétits » d’une de mes bibliothèques. Allez, je les vois de loin (je suis couché sur le canapé, et je ne sais pas qui je dois remercier, le Diantalvic génériqué ou le Côte du Rhône propriétaire, pour l’oubli temporaire de mon lumbago), je peux citer :

  • deux Dennis Lehane, dont Mystic River
  • un Anna Gavalda (Ensemble c’est tout)
  • un livre intitulé Désintégration sur la volonté d’un jeune beur (3ème génération ?) de ne plus s’intégrer
  • Un Philippe Delerm (Garonne)
  • Une pièce de théâtre de Marcel Pagnol (Judas)
  • un livre sur La grenouille qui ne voulait pas cuire ou un titre approchant
  • Un Stanislas Lem (L’invincible), en attendant de trouver Solaris

Les vacances sont là, le cerveau est en roue livre…

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Il n’est pas urgent de faire plein de choses

J’ai un méchant lumbago, mais c’est mon 1er jour de vacances. Je ne vais pas le passer à écrire des thibillets, non msieur mzelle, mais comme je fourmille de projets (air connu) et nécessite de les ordonner (le même, en version remix), je tombe en baguenaudant sur un commentaire suite à un billet sur le blog de Christie qui m’amène à ces plans d’un jour (mapday), dont voici un exemple ici.
J’avais déjà parlé de Freemind, mais jamais en détail des cartes heuristiques / cartes mentales et de leur utilité (au moins pour moi). Là, c’est encore plus génial, puisque l’on déborde du concept pour aborder – mais pas seulement – les sensations, et on joue sur le temporel.
Reste plus qu’à…

  1. voir si je peux m’exprimer comme ça
  2. voir si je peux m’y tenir

Projets, projets… (deux sont en phase de naissance avancée, mais non publique : Projet Phenix et Projet Prométhée. Tous deux mêlent du professionnel à du personnel.)

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L’été sera chaud…

Un blog de fondu (c’est la chaleur) propose des gadgets plus délirants les uns que les autres. J’avoue que j’apprécie le parasol à bière

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