Archives de catégorie : Romano

Dîner des Grands de ce Monde (2)   – Voilà, nous dit Vieux Bill en s’essuyant la bouche, vous êtes coincés ici pour la nuit. Je peux vous loger. Nous eûmes un regard entre nous. Conrad jaugeait la petite pièce … Continuer la lecture →

Dîner des Grands de ce Monde   On était assis autour d’une pltrée où l’on reconnaissait des oeufs, des pommes de terre avec du lard et du bacon, des tomates, quelques poivrons, quelques épices. Conrad avait passé un tablier rose … Continuer la lecture →

Ceci est une citation à des fins d’illustration musicale (détails ici). Il s’agit d’un extrait, en mono, de Call me The Breeze, par JJ Cale, sur le CD Naturally, Mercury, 1972. Le disque est en vente ici. George et Théa … Continuer la lecture →

Cargo cabane   A l’intérieur, il faisait assez sombre, pas de cette obscurité qui mange tout et laisse les petits enfants frissonnants, non Monsieur, de la belle obscurité tiède, qui atténuait les reflets du cuivre (du cuivre patiné, dans cette … Continuer la lecture →

Vieux Bill Horseshoe (3)   Le vieux alla frapper à la porte : « Vieux Bill ! Y a du monde pour toi ! ». Puis il entra tout naturellement, on entendit un peu de remue-ménage, un grommellement, et un pas lourd qui s’approchait. Le … Continuer la lecture →

Vieux Bill Horseshoe (2)   Conrad avait garé son taxi sur le terre-plein devant, pendant que le vieux allait ranger le tracteur le long de la bicoque. A travers la clôture, on pouvait voir des carcasses de voitures, des réfrigérateurs, … Continuer la lecture →

Mouvements syndicaux chez les lettres   Nous arrivâmes à la nuit tombée, bien tombée, ça il n’y avait pas de doute, il n’y avait plus aucune lumière sauf la lune qui brillait comme une pastille de sucre. Sur le bord … Continuer la lecture →

Le convoi de la Rivière Sanguine   Le soleil, qui en avait assez fait pour la journée, se couchait dans un lit de nuages mauves parfumés à la violette. Il éclairait d’une lueur rouge-orange notre progression de pionniers. Le vieux … Continuer la lecture →

Vieux Bill Horseshoe   Nous nous sommes garés sur un terre-plein, un peu plus loin, la poussière brûlante est entrée dans l’habitacle quand Conrad a freiné, et nous étions tous recouverts de poudre jaune comme des coyotes des sables. Conrad … Continuer la lecture →

Pluie d’argent dans la vallée   C’était Conrad qui conduisait quand c’est arrivé. J’étais assis à côté de lui tandis qu’Aline et Eileen discutaient à mi-voix, se demandant probablement comment elles pourraient extirper le pêché et la balourdise de nos … Continuer la lecture →