Ubuntu – Septième vague

Septième vague : n. f. Englobe les termes Agorie, Murouli, et Lulu (à défaut de félixographie). Instant où l’on se dit « la vie est belle, je suis le plus fort, je vais tous les avoir » (pour ne pas dire autre chose).
Instant où l’on se sent vivant.

Publié dans Ubuntu | Marqué avec , , | Commentaires fermés sur Ubuntu – Septième vague

Pour changer de thème – test

Publié dans Blog | Marqué avec , | Commentaires fermés sur Pour changer de thème – test

Message de service

J’ai changé la structure des commentaires. Désormais, je réponds à chacun(e) directement en-dessous de son commentaire. Avantage : plus clair, plus linéaire. Inconvénient : mes commentaires ne sont plus signalés dans la liste des derniers commentaires. C’est gênant ?

Publié dans Blog | Marqué avec | Commentaires fermés sur Message de service

Batana – Hachoirer

Antonyme du ubuntu « Biyarder », voici la batana suivante :

Hachoirer : n.m. Se taper tous les feux rouges. Démarrer, passer la seconde, et voir le feu à 200 m qui passe au rouge.
Par extension : voir quelqu’un qui carotte la file d’attente « parce qu’il a une bonne raison ».

Publié dans Batana | Marqué avec | Commentaires fermés sur Batana – Hachoirer

Lithiase – Electrolyse

Il me dit « Tu comprends, là, il faut que je m’organise, il y a tous ces dossiers, je suis en retard sur le projet batana et par ailleurs, on ne me donne pas les moyens, et ma famille là-dedans, hein, et je ne te parle pas de ma famille seulement, j’existe aussi en temps que personne et »
BZZZZZZ.
Ses yeux deviennent vitreux. Une voix monocorde prend le relais. « Pause. Veuillez patienter. » Sa main ouvre convulsivement un tiroir, elle en tire un cylindre gris, elle éjecte le même type de cylindre fumant dans son dos, le remplace par le neuf. Ses yeux se rallument et il dit
« Et je ne te parle pas de ma hiérarchie,tu sais, j’essaie de ménager tout le monde »

Je quitte son bureau, il continue à parler en fixant le mur gris.

Publié dans Caillou | Marqué avec , , , | Commentaires fermés sur Lithiase – Electrolyse

Ubuntu – Biyarder

Voici un ubuntu citadin.

Biyarder : v.i. En voiture, ne pas avoir à freiner (ni accélerer), car les feux passent tous au vert quand on est encore à 200 m. Se laisser glisser sans à-coup.
Par extension : descendre le toboggan d’une piscine en tenant un enfant dans les bras.

Publié dans Ubuntu | Marqué avec | Commentaires fermés sur Ubuntu – Biyarder

Projet Ubuntu

Monsieur Jean en a été le co-fondateur, et le premier contributeur (premier nommage, première définition), sous les auspices de Yann ou Joséphine. Il s’agit donc de proposer un pendant aux batanas, et de définir, identifier, des petits plaisirs quotidiens.
Le ubuntu, c’est l’anti-batana.
(Liste des batanas ici, et aussi chez Yog, ici et ).

Question : le ubuntu doit-il être par essence champêtre, naturel, estival, ou peut-on avoir un ubuntu en ville ? Réponse (évidente) : étant l’anti-batana, il est l’anti-tracas quotidien. Donc, si une batana, c’est de se prendre la manche dans une poignée de porte, un ubuntu sera, par exemple, cette brise rafraichissante que l’on sent déjà dans le couloir d’un métro surchauffé. Donc le ubuntu peut (voire, doit) être présent en ville, hors vacances.

Voici la liste des premiers ubuntus :

  • Vespéridienne : n. f. Un jour de forte chaleur, heure à laquelle l’air du dehors devient plus frais que l’air du dedans, et on peut donc ouvrir les volets et fenêtres. (terme copyleft Monsieur Jean).
  • Petit-terrasser : v.i. prendre son petit déjeuner dehors au soleil, sans être bien réveillé, éventuellement pieds nus et en caleçon, avec des croissants chauds en feuilletant Libé.
Publié dans Ubuntu | Marqué avec , | Commentaires fermés sur Projet Ubuntu

Caillou – Il y a 5 ans, dans une autre vie

Des tours s’écroulaient
pendant que nous faisions l’amour,
insouciants, enfantins.
la chambre était petite, la lumière rasante.
Elle découpait ton corps
Dans une odeur de chocolat chaud.
Nous n’étions nulle part, nous étions chez nous.

Donnez-nous une bulle, irisée, exigüe, mais
à nous.

Publié dans Caillou | Marqué avec | Commentaires fermés sur Caillou – Il y a 5 ans, dans une autre vie

Lazare revenu des morts

« Les enfants s’égaient à la sortie de l’école comme une volée de pinsons ».
N’importe quoi. A la sortie de l’école, les enfants se tiennent sur le seuil, cherchant le papa la maman la nounou la mère-grand, ou bien ils descendent sagement.
Et pour le train qui arrive en gare ? Les passagers ne s’égaient pas comme des pinsons, non, ce n’est pas vraiment la bonne expression. Ce sont plusieurs files qui s’écoulent sur le quai, ceux qui prennent l’extérieur, ceux qui suivent le flot, en ajustant inconsciemment leur allure par rapport au dos devant eux.
Devant moi, une nuque vraiment mal foutue. Les cheveux virent à gauche et se perdent dans une virgule grasse de Pétrole Hahn au niveau du col. Très mauvais implantation, jeune homme, ça part en vrille, et vos méchouilles gominées qui rebiquent, ça n’arrange pas le tableau. Tiens, changement de file, voilà une vraie nuque de petit soldat, propre, bien rasée, une nuque à relever la France de sa sinistrose. Hop, escalier, la foule dégouline plutôt qu’elle ne descend, magie de la viscosité des fluides. Mais un élément pertubateur dans mon paysage : bon sang, ça n’a même pas 25 ans, nuque rasée aussi, mais pas que la nuque, costard noir, petite serviette en cuir, et ça sautille comme un cabri d’une marche à l’autre. Bon, il va peut être pas relever la France avec son glaive et son bouclier, mais il va mettre une animation dynamique, c’est déjà ça.
Un gros homme avec un gros attaché-case d’auditeur, ce genre de petite valise très large en cuir noir. Probablement un boucher qui transporte deux gigots emballés dans des torchons, le tout camouflé sous une fausse respectabilité (?) de cadre sup. Dès qu’on détournera les yeux, il ira se siffler un petit blanc au comptoir ou bien, serviette à carreaux coincée dans le col, il se tapera une soupe à l’oignon.
C’est lundi matin, c’est Saint-Lazare.

Publié dans Caillou | Marqué avec | Commentaires fermés sur Lazare revenu des morts

Caillou – Traverse

Le quai,
Promontoire qui s’avance
Dans la chevelure des rails.

Publié dans Caillou | Marqué avec | Commentaires fermés sur Caillou – Traverse

Rentrée à l’envers

C’est la rentrée, aussi pour nous, les profs, mais c’est la première année que cela me fait ça : c’est une rentrée qui commence par la fin.
Normalement, on rentre, on prépare ses cours, les cours commencent, on fait des contrôles continus (« partiels »), puis à la fin, on fait des contrôles terminaux, on tient les jurys, on plante certains étudiants, on en félicite d’autres, et hop, le cycle de Krebs continue.
Depuis quelques années, mes rentrées commencent par la fin : on fait un contrôle terminal (le 31 août) ou un contrôle de rattrapage, puis on corrige, puis on tient le jury, et enfin on décide qui va commencer l’année, et qui va repiquer. Je suis sûr qu’il y a des raisons administrativo-divines à cet état de fait, mais commencer par la fin, ça me grisaille la vie. Avant même d’avoir vu un étudiant en cours, il faut rédiger des sujets d’examens (en août) et corriger des copies, c’est comme commencer une soirée par la gueule de bois, et finir par l’apéro…

Publié dans Réflexions | Marqué avec , | Commentaires fermés sur Rentrée à l’envers

Pensées d’après-vacances 2 : location ou achat ?

Je vais vous parler de ma vie (« ooooh » murmure la foule dépitée), mais je vais aussi vous parler de finance (« aaaaaaah » reprend la foule, respirant comme quand on balance de l’oxygène pur dans les salles de casino à 3h du matin).

  • Cet été, j’ai pris des vacances. Voui. Et j’en avais aussi pris à Pâques. On ne se gêne pas, on a les moyens.
  • Étant donné que ma voiture tient plus de la Smart que de la 306, j’ai loué un monospace pour les vacances : 1 semaine à Pâques, 3 semaines l’été. (On ne se gêne pas, dans la haute finance la haute fonction publique le haut enseignement commercial la haute bourgeoisie chez moi).
  • Le coût total de location de ces 4 semaines, pour un monospace neuf, propre, avec lecteur de CD et plein de petits tiroirs et de trappes partout pour pouvoir planquer des Playmobil et des Polly Pocket, représentait la somme de #### (je dis cela pour ne pas choquer. C’est à peu près le prix d’une centaine de peaux de castor).
  • Or, voilà-t-y pas que j’entends à la radio, juste après Les Grosses Têtes, une publicité « Le monospace Renault Scenic à ## ### ! » Oui, je sais, ce chiffre m’a aussi semblé très alléchant. Mais ledit chiffre (## ###) représentait 11 fois ce que j’avais payé en location pour 4 semaines.

Le calcul est simple. Étant donné que je n’utilise une grosse voiture que 4 semaines par an, cela vaut-ce-t-il la peine de l’acheter ? Réponse : certainement pas, il faudrait 11 ans pour la rentabiliser, et c’est compter sans l’assurance, la maintenance, et la valeur temps de l’argent.

Lors d’une soirée estivale puissamment avinée, Jean-Christophe établissait une analogie avec le marché immobilier en Île-de-France : selon lui, l’écart entre les prix immobiliers et les loyers est tel qu’il vaut mieux revendre son appartement (si on en a un, sinon, il faut juste acheter un Monopoly) et se mettre à louer. Reste à inclure dans cette réflexion :

  • la valeur de revente (qui pourrait justifier quand même d’acheter dans l’immobilier)
  • les avantages non quantifiables, car non financiers : pouvoir, sur un coup de tête fou, dire « Allez, je vais me remplir 3 caddies chez Carouf », ça sonne comme un homme libre (si, si), tandis que « Allez, je vais aller chez Rent-A-Car pour prendre une chignole dont le coffre contienne plus qu’un I-pod, pour ensuite aller me remplir 3 caddies chez Carouf, puis j’irai rendre la chignole », ça fait moins homme-viril-qui-sait-visser-boulonner-faire-une-vidange-et-formater-le-disque-dur.

Moi je m’en fous, je ne suis pas viril, je fais mes courses en ligne.

Publié dans Finance | Marqué avec , , | Commentaires fermés sur Pensées d’après-vacances 2 : location ou achat ?

Samba et grammaire, c’est pas gagné

J’ai pensé pendant longtemps que dans l’expression et / ou, le  » /  » signifiait aussi et / ou. C’était vertigineux, une mise en abyme à la Borges, ça sonnait comme et / ou = et et / ou ou = et et et / ou ou ou, on aurait dit de la musique brésilienne avec ses accents de cuica. Hélas, ce n’est pas du tout récursif, et la mise en abyme, elle ira se faire voir chez Plumeau :  » /  » signifie « ou », c’est tout.
Eouou, oui, bon, c’est court comme morceau brésilien…

Publié dans Réflexions | Commentaires fermés sur Samba et grammaire, c’est pas gagné

Caillou – Poème composé sur Atari

Tes yeux sont comme de la mousse au chocolat
Tes paupières sont comme un rideau de fer
Ta bouche est ronde comme un abricot
Tes cheveux flottent en l’air
Tu inspire chaque seconde
Et ton souffle sent l’air.

Publié dans Caillou | Marqué avec | Commentaires fermés sur Caillou – Poème composé sur Atari

Chanson triste… et positive

La journée n’est pas fantastique, mais se termine bien (en fait elle n’est pas terminée, j’en suis à la diapo 14 et il y en a 71…). Je me suis battu une bonne partie de la journée pour faire une présentation qui soit pédagogique (air connu, ça fait 14 ans que je retravaille les mêmes docs, ils sont plus polis que des galets, mais je rajoute, j’enlève, pffff).
J’en étais à me dire : « ordi de brenne, OpenOffice de chienlit, web excrémentiel » quand j’ai découvert (via le Standblog) ce vidéo clip.
La chanson est déjà plaisante à mes petites oreilles fatiguées, mais quand je vois qu’avec un bête appareil numérique, un minimum de talent artistique, et Internet, ce petit gars diffuse ses créations à tout le monde (enfin, le monde connecté…), je me dis « la révolution est en marche, camarade ». Tout explose. Les notions de diffusion, valeur, business model, échange, développement, plus rien n’a la même signification. Je comprends que dans certaines entreprises, des gens tremblent, moi aussi je tremble, mais c’est d’excitation : quel beau monde ça pourrait faire…
Une de mes collègues me disait « avant, le développement durable, je n’y croyais pas, je me disais ‘tout ce que je peux faire, c’est une goutte d’eau’. Aujourd’hui, j’agis à mon niveau, car l’océan n’est composé que de gouttes d’eau ». J’aime bien ce vidéo-clip goutte d’eau.
Et je pense que ce que nous vivons est assez unique dans l’histoire de l’humanité (j’y vais franco, hein, c’est un thibillet court).
Donc voilà, comme d’hab j’ai plein de projets, de bonnes résolutions… Et encore une soixantaine de diapos à retravailler.

(Mise à jour, à 00h08 le lendemain : Ayé, fini, flappi. Me mangerais bien une choucroute, là…)

Publié dans Réflexions | Marqué avec , , , | Commentaires fermés sur Chanson triste… et positive

Livre lu : Valery Larbaud Enfantines

Offert par mon éditeuse, ce livre (Valery Larbaud, Enfantines, L’imaginaire, Gallimard, 190 p.) rassemble 8 nouvelles écrites par des enfants, ou plutôt, vues par des yeux d’enfants. Et même si on se situe au début du XXème siècle (il y a des domestiques, des calèches), cette vision d’enfants est toujours transposable.

On venait de vider une boite de soldats tout neufs et on les avait alignés sur le trottoir, devant le ministère des Finances.
Valery Larbaud, Enfantines, L’imaginaire, Gallimard, p. 136.

J’ai énormément aimé ce livre, pour quelques raisons simples qui agissent comme des évidences (voire des conseils à toute une génération d’écrivains) :

  • C’est très bien écrit. Le style est celui d’un français soutenu, recherché, mais sans tomber dans le côté littérateur de certains académiciens (je pense par exemple à François Cheng, dont Le dit de Tianyi, qui est pourtant poignant, est à mon avis desservi par une écriture trop « je veux être académicien, je démontre cela dans mes phrases longues et équilibrées »). Quand je lis Valery Larbaud, j’ai une sensation de pureté et d’intelligence.
  • C’est poétique. Je me répète, mais quand un auteur arrive à conjuguer une grande sensibilité personnelle, une capacité à se mettre dans les sentiments de ses personnages, et une grande maîtrise de la langue, cela devient superbe.
  • Et Marcel sent le besoin d’aller raconter son triomphe à tout le jardin. Il sort dans la tiédeur dorée. Mais comme tout est drôle, ce soir ! On a dû jouer aussi là-haut, et on a laissé le ciel en désordre ; et il est ici, tout près, mélangé à la terre. Le ciel est rempli de montagnes jetées les unes sur les autres. Un promontoire, pareil à l’avant d’un grand cuirassé, crève un océan d’or. De hautes falaises sont percées d’interminables canons au bout desquels brille une mer toute mauve.
    Valery Larbaud, Enfantines, L’imaginaire, Gallimard, p. 116.

  • C’est puissamment observé. Il faut plus qu’un regard, ce sont des antennes supra-sensibles qui peuvent capturer, avec autant de justesse, les états d’âmes d’enfants, qui sont bien souvent plus graves que ceux d’adultes. Je ne veux pas en dire trop, car tout cela est très personnel, mais prenons par exemple la rentrée scolaire à la fin des vacances. C’est dans l’air du temps, on le sent dans certains billets de blog ou des commentaires, mais rappelez-vous, ce sentiment poignant quand on avait 8 ans, 10 ans, la première entrée au collège, au lycée, le côté qui nous apparaissait comme inhumain de ces grands lieux gristres, tous ces visages inconnus. Bien sûr, on savait qu’au bout d’une semaine, ces visages deviendraient des prénoms, des amis, et l’on essayait de s’en convaincre bravement. Mais c’était dur, on était trop jeunes, pas assez préparés. C’est tout cela que je retrouve, et encore plus, dans ces Enfantines.
  • Enfin, et surtout, ce livre donne la version des enfants, qui contient son lot de gravité et d’angoisses, mais aussi sa part d’optimisme. Plus que de l’optimisme : un esprit pur, conquérant, qui ne connaît, finalement, que très peu de limites. J’adore, et j’envie, cette pureté, et j’y ressource mon optimisme.
  • Un grand ciel de couchant, plein de longs nuages, l’invite à voyager parmi ses continents et ses îles. C’est le bon Dieu lui-même qui l’accueille et lui ouvre tout grand son grand dimanche. Et Marcel, sans se gêner, vient s’asseoir sur les genoux du bon Dieu, et regarde avec lui les images qu’il trace à mesure dans le ciel.
    – Mon bon Dieu, votre ciel est bien beau, et votre terre aussi n’est pas mal.
    Valery Larbaud, Enfantines, L’imaginaire, Gallimard, p. 120.

Et puis, enfin, une méditation permanente pour le professeur que je suis :

… cette nourriture intellectuelle qu’on nous présentait toute mâchée nous soulevait le coeur. Et puis, enfin, nous n’étions pas des anges pour tout concevoir sans l’aide des sens, pour descendre toujours de l’abstrait au concret. […] Mais ce n’était pas seulement cela. Ce qui nous rebutait le plus dans nos études, c’était l’inutilité de nos travaux. Toujours s’exercer, et ne jamais rien faire.
Valery Larbaud, Enfantines, L’imaginaire, Gallimard, p. 152.

Correspondance : spontanément, je pense à Jules Romains. Normalien, poète, académicien, et contemporain de Larbaud, il écrit aussi avec fluidité, dans une belle langue, les états d’âme d’une population parisienne (Les hommes de bonne volonté, 27 volumes, superbe). Il va même jusqu’à se mettre, avec justesse me semble-t-il, dans la peau du chien Macaire pendant quelques pages. D’octobre 1908 à octobre 1933, on suit une foultitude de personnages, certains meurent (notamment dans l’horreur de Verdun), d’autres tombent en déchéance, certains disparaissent des romans puis réapparaissent, ou pas. Un grand chef d’oeuvre. (malgré ce qu’en dit le paragraphe « Critique » dans l’article de Wikipedia sur Jules Romains. Scrogneugneu, je m’en vais t’éditer ça rapido, moi) (MàJ : c’est fait)

Publié dans Livres | Marqué avec , , , | Commentaires fermés sur Livre lu : Valery Larbaud Enfantines