La guerre est un art tout d'exécution…

De l’excellent XKCD (je ne comprends pas toujours tout, tellement c’est de l’humour de trentenaire geek américain).

Traduction :

  • (tape sur son clavier) « La clé de la productivité, c’est la gestion du temps. »
  • (tape sur son clavier) « Choisissez vos buts, construisez un planning, et ayez la volonté de le suivre – sinon, vous serez dépassé par ceux qui l’ont fait. »
  • PLANNING : 7h : réveil ; 7h15 – 8h : poster des billets sur les blogs de productivité, en annonçant mon planning du jour ; 8h – jusqu’à point d’heure : glandouiller.
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Ubuntu-Cola

  • Après les Ubuntus que je glâne, eux-mêmes étant les miroirs lumineux des Batanas
  • Après avoir installé Linux Ubuntu, et en être, ma foi, fort satisfait depuis 1 an et demi que j’ai quitté Windows
  • Christian me fait passer cette photo, qui est visiblement le fruit de ses pérégrinations internationales et aéroportuaires : le Ubuntu Cola.

Notre vie s’ubuntuise, comme dirait mon Nokia. Et soyons clairs : ça me réjouit.

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Novlangue 2

En terme de novlangue sur mon Nokia, voilà la moisson du jour :
– « rendorm » donne « rendormis-tu »
– « coach » donne « coachis-tu »
– « chiant » donne « chiants-tu »
– « Jo » donne « Joz-vous »

Joz-vous, joz-vous !!

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Caillou – Comte Gris

Sous l’eau du lac
Une brume d’esprits qui dansent.

Ma tasse de thé ce soir.

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Batana – Politage automatique

Politage automatique : n. m. Se cogner dans une porte, ou à un poteau, et dire Pardon. Croire qu’on a écrasé un pied, dire Pardon, alors que c’était un marchepied. Espérer que personne n’a entendu.

Les autres batanas sont .

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Le service après-vente de Darty, pas vraiment vert – quelques questions sur la consommation et la grande distribution

Il n’est pas dans mon intention de transformer ce blog en annexe de l’UFC Que Choisir. Je préfére de loin traiter de projets thématiques déjà lancés sur ce blog, comme la série de thibillets sur la Cinétique du pékin (j’ai quelques thibillets en réserve) ou Typewatching the stars (itou).
Mais après mes mésaventures avec SFR (et les réflexions que cela m’a inspiré), je suis actuellement en discussion virile avec le service après-vente de Darty.
Je ne vais pas détailler l’affaire, juste souligner un point, et les réflexions qu’il emporte.

J’ai un sèche-linge qui est tombé en panne. Après 5 interventions du service après-vente de Darty chez moi, échelonnées sur plus d’un mois, et alors que le sèche-linge n’était toujours pas réparé, j’ai fait le compte :

  • le prix des pièces qui ont été changées représentait une somme d’au moins 25,99 + 91,98 + 130,55 = 248,52 € HT (Je dis au moins, car je n’ai que les chiffres pour ces pièces-là, mais il y a eu d’autres remplacements…)
  • L’appareil neuf coûte 138 € HT

Dans le prix des remplacements, je ne compte ni l’essence des 5 camionettes Darty, ni le salaire horaire des réparateurs.

1ère question : dans quelle société vivons-nous, où la réparation (toujours inefficace, puisque le sèche-linge ne marchait toujours pas) coûte plus cher que le remplacement à neuf du produit ?
2ème question : quel est le business model de Darty, qui accepte d’avoir plus de dépenses en SAV qu’en fournissant un produit neuf  ?
3ème question : Si on incluait tous les coûts environnementaux, Darty serait-elle considérée comme une société à empreinte carbone (a) très négative (b) très très négative (c) négative ? (cochez la case qui vous semble appropriée)

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Novlangue

J’ai depuis peu – les lecteurs qui ont suivi mes péripéties le savent – un Nokia E72.
J’en suis très content. Face à tous ces iPhones, je me sens un peu comme celui qui mange un sandwich saucisson-beurre au comptoir du café du coin, alors que tout le monde va chez MacDo.

Il y a toutefois un point qui m’épate, et pour tout dire, me ravit.

Il y a, comme sur tous les smartphones, un système d’aucomplétion des messages. Cela donne des résultats amusants : j’en avais déjà parlé dans T9 roulette ainsi que dans un thibillet suivant. A noter que le correcteur orthographique du traitement de texte OpenOffice peut aussi être insultant, et que les iPhones ne sont pas en reste

Mais là, on touche à autre chose.

Je tape « chemisette », il me propose « chemisettez-vous ». Je connaissais le verbe chemiser, mais pas encore chemisetter.
« Voie » donne « voiez-vous ». J’hésite : voier, c’est aller sur une voie, ou c’est voir tellement mal qu’on commet des fautes en écrivant les verbes ?
Dans la veine poétique, « aurores » donne « aurores-tu ». Non, créature de la nuit, je n’aurore jamais sans toi… Et tant qu’à parler de sommeil, il me propose « dormirant ». Je suppose que c’est le participe présent du verbe dormirer, qui, comme tout le monde le sait, signifie dormir face à un miroir.

Et puis on arrive dans le surréaliste :
mails => mails-tu
kms => kms-tu
que => queez-vous
hâttps (dans une barre d’adresse web) => hâttps-tu

ça me rappelle l’histoire du verbe photor. Il n’y a donc pas que les Japonais à faire ça, les suédois s’y mettent aussi : plutôt que d’embaucher un traducteur humain, ils construisent un algorithme de traduction. ça donne par exemple : « En français, chaque mot qui finit en S est un verbe conjugué à la deuxième personne du singulier. On peut donc rajouter « -tu » après-tu comme suggestion. Mais ça ne marche qu’en français-tu. Il n’y a jamais-tu de contre-exemple. Pareil pour le z : les mots qui finissent en ez, on peut leur rajouter « -vous », puisque c’est un verbe conjugué à la deuxième personne du pluriel. C’est évident comme le nez-vous au milieu de la figure ».
Mais je n’ai pas réussi à percer les arcanes du logiciel de traduction qui a donné « queez-vous ».
Aussi, je vais hâttper quelques-tu sites-tu, sans aurorer (il faut dormire, quand même) et vous tiendrai au courant.
Après-tu avoir mangé mes merguez-vous.

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Optimiste / pessimiste : les mots et les attitudes

J’ai passé une partie de la semaine avec un vrai pessimiste.
Pour une description du pessimiste, il y a le chapitre 1 de Mind Gym, un des livres que je recommandais à mes étudiants. Je résume le propos : un pessimiste, c’est celui qui généralise les mauvaises expériences (ça m’arrive TOUJOURS) et traite les bons événements comme des exceptions (oui, mais là, exceptionnellement, on a eu de la chance). Un optimiste fait l’inverse.
Or, avec l’ge, ou la société dans laquelle on vit, on peut évoluer facilement vers le pessimisme (ce serait aussi une tendance typiquement française, comme le montre un de mes estimés collègues, avant d’enchaîner sur une thèse brillante dans son éloge de l’optimisme). D’où l’intérêt de Mind Gym (chapitre 1) pour pratiquer quelques exercices salutaires. Pour ma part, je n’avais pas mon exemplaire sous la main, mais je l’ai suffisamment épuisé pour en connaître les principaux exercices. Face à cet indécrottable pessimiste, j’ai pris systématiquement le contrepied de ses affirmations ou de sa vision du monde.
Et j’ai retrouvé quelques jolies phrases pour contrer la scoumoune que représentait ce pénible.

Les phrases que je déteste :

ça ne va pas marcher.
A quoi ça sert de s’entêter, c’est foutu.
Non mais qu’est-ce que tu crois ?

La phrase qui m’horripile par dessus tout :

Je l’avais bien dit.

Les phrases que j’aime :

Je vais aller demander.
Attends, prenons le temps de chercher une solution.
La bonne nouvelle, c’est quand même que…

Enfin, l’expression que je préfère, de très loin, rugueuse et sereine dans sa simplicité populaire :

« ça se tente… »

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Ubuntu – Cracriner

Cracriner : v. i. Atterrir à Roissy, où il fait froid et gris, et sentir encore quelques grains de sable de la plage entre ses orteils. Par extension : chercher un manuel de compta analytique (rubrique coûts complets) et tomber sur l’addition de ce restau délicieux, il y a deux ans, à Acapulco.

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Error

Je suis en train de réserver des billets sur Internet.
Après 20 mn de saisie laborieuse, au moment où je clique sur OK, voilà ce qu’il m’affiche.
Désolé, moi pas parler Klingon 🙁

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