J’ai arrêté de commenter les livres que je lisais, par manque de temps. C’est dommage, mais comme par ailleurs, certains amis blogueurs m’avaient dit qu’ils zappaient systématiquement mes analyses de livres, je vous demande un peu à quoi ça servait que je me décarcasse.
Cela dit, j’ai beaucoup aimé récemment Le lièvre de Vatanen, d’Arto Paasilina, mais chut, je ne vous ai rien dit.
Donc, si je m’y remets cette fois, c’est parce que la Grande Loulou m’a fouetté. Et comme j’aime ça, je m’exécute.
Haha, c’est excellent : j’avais rédigé une trentaine de lignes argumentées, pof, coupure de courant, mon ordinateur passe sur batterie, je me dis « fieffé rusé que tu es, sauvegarde donc avant d’aller rétablir le courant ». Je clique donc sur « Enregistrer », le petit bouton qui envoie le texte à mon bleug. Sauf quand la Freebox est coupée, pour cause de disjoncteur fébrile. Moi tout perdu.
Bon, ça m’apprendra à trouver un moyen de faire des sauvegardes sous mon éditeur de texte, encore un truc à mettre dans ma rubrique Productivité.
En attendant, salut mon vieux, la critique du bouquin de Kempf, ce sera pour plus tard (ou jamais), je vais pas me refarcir tout ça maintenant.
non, franchement, cela valait-il le coup de faire un thibillet pour ne pas donner votre avis sur le livre tout en dévoilant mes travers à la blogosphère, cher professeur ? Ma réputation est ruinée ! (eh oui, j’avais oublié les pointes ornant les lanières du fouet le jour où je vous ai donné ce livre)
🙂
Hello Loulou, ne te fche pas, tu vas encore renverser de l’huile bouillante sur la moquette… 😉 L’autre soir, j’en avais marre : j’avais pondu ma petite analyse, et pfouh, apu. Mais comme, pour une fois, j’avais pris des notes en lisant le livre, je ressortirai ça bientôt. Dès que j’en aurai terminé avec mes ratios d’analyse financière 🙁