J’avais mentionné dans un précédent billet (2ème paragraphe) le fait que, nonobstant les sujets sérieux sur lesquels j’écris, je prends plaisir à émailler mes doctes ouvrages d’une pointe de poésie.
Allant déposer un de mes ouvrages dans de blanches mains, j’ai pris à partie quelques auditeurs débonnaires et compatissants pour leur asséner le conseil de la page 235 :
Surtout n’essayez pas d’utiliser le CMPC à des fins pratiques avant le chapitre 17, sinon vous partirez dans le mur comme des poulpes survitaminés.
Moi ça me fait rire. N’est-ce pas la preuve de l’autarcie la plus complète ? Pour un peu, le bonheur ne serait pas loin…
J’aurais aimé tomber dessus sans m’y attendre. Pour sur, j’aurais été pliée.
Boh, Joséphine, il y en a d’autres dans le livre (teasing, teasing !)