J’ai l’impression que le travail sur soi (psychanalyse, psychothérapie, …), c’est comme les régimes :
- D’abord, il n’y a pas de recette universelle, chaque personne réagira plus ou moins bien à un régime donné (= une thérapie / école de pensée donnée)
- Certains ne font pas de régime, alors qu’ils devraient en faire (= travailler sur leur personnalité) ;
- d’autres en font, mais pas les bons (= psychanalyse alors qu’il leur faudrait une thérapie du cri primal par ex.) ;
- d’autres en font, découvrent peu à peu le bon, mais c’est quand même un travail d’une vie, ou pas loin ;
- d’autres enfin, les happy few, n’ont pas besoin de faire de régime. Et là encore, il y a encore plusieurs catégories :
- ceux qui s’alimentent naturellement et ne grossissent pas (= ils savent naturellement comment faire, sans suivre une méthode)
- ceux qui peuvent manger de tout sans prendre de poids, parce que leur physiologie « brûle » les calories (= résilience devant les événements, « ils savent gérer »)
- ceux qui se foutent d’être gros (= peu/pas de dépendance à l’opinion des autres)
Le parallèle est vraiment intéressant, parce que très riche.
Et pédagogique 🙂