Pendus en suspens

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Elle lui offrait des vêtements –

ou pire, faisant les courses ensemble, le convainquait d’acheter des vêtements –

qui ne lui plaisaient pas.

Après deux ans de purgatoire dans la penderie,

les vêtements retrouvaient leur liberté

chez le fripier ou dans une oeuvre paroissiale.

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