Meyerlingue : n. m. Lors d’une chronique radiophonique, comprendre les allusions à demi-mot, les références subreptices à des textes de chansons, et s’en réjouir. Avec le sentiment inquiet (un petit bonheur est toujours temporaire) d’avoir raté d’autres références, et subséquemment, être attentif à chaque tournure de phrase qui pourrait cacher un artiste… alors que ce n’est « que » du Philippe Meyer.
Par extension : Chercher pourquoi le programmateur a prévu tel morceau sur FIP juste après tel autre ; parfois, trouver une raison, et s’en réjouir.
Il me semble que la programmation sur FIP est paramatrée par l’humain mais bel et bien composée par ordinateur, sur la base d’un thème reliant une chanson à l’autre, que l’auditeur-pas-si-distrait peut parfois identifier-sans-en-être-jamais-certain.