Caillou – Hephaïstos

Toi qui as vu
Sous tous mes masques
Ma tristesse inexpliquée
Tu me connais.

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Une réponse à Caillou – Hephaïstos

  1. Kate dit :

    Mieux que d’entendre, certains soirs d’orage,
    "Depuis des années, je me demande qui tu es,
    Toi qui ne te livres jamais."

    Constater une nouvelle fois, presque avec détachement,
    Qu’en effet, il n’en sait rien.

    Réactiver l’ancienne souffrance
    De ne pas être connue.

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