A Venise le jour,
je marche au milieu des places,
insouciant.
A Venise la nuit,
je longe les murs,
furtivement.
Tant d’ombre abrite encore tant de noirceur.
A Venise le jour,
je marche au milieu des places,
insouciant.
A Venise la nuit,
je longe les murs,
furtivement.
Tant d’ombre abrite encore tant de noirceur.