🙂
Deux remarques :
– toujours en garder sous le pied pour la deuxième partie (oui, ça me rappelle quelque chose)
– c’est souvent la rage qui nous fait avancer. L’amour aussi, oui, bien sûr, mais quand Elissalde attrape le All Black par le maillot, puis par la cheville, à un moment crucial, c’est de la rage pure et c’est bon… 🙂
La rage du quinze tricolore les a Blacks boulés , oui !
et z"avez remarqué,comment les" petits " ont défié les all blacks au moment du haka ,même pas eu peur .
(ah! les pectoraux de Chabalou c’est quequechose! )
Comme quoi on peut être fin(e) lettré(e) et aimer les deltoïdes de l’Homme des Cavernes, oui, oui, oui. Et je me souviens de tous les discours de ceux qui disaient que contre les All Blacks, c’était plié, y avait plus qu’à remballer. Angoisse incantatoire, pour détourner le mauvais sort ? Sacré Michalak !
Ce matin les all blacks sont verts de rage …
🙂