J’ai terminé Les naufragés de l’autocar (Steinbeck) et commencé Les choses de la vie, de Paul Guimard. Je trouve cela bien écrit, je me demande si ce n’est pas un style « quadra désenchanté » qui était typique de ces années (fin des années 60), j’approfondirai à l’occasion.
Bon, le passage qui me plaît :
– Sérieusement, dira Mortreux, c’est une question de volonté.
C’est son mot favori. Il construit sa vie sur l’exercice patient de volontés mineures, ce qui ne lui laisse guère le temps d’avoir du caractère.
Paul Guimard, Les choses de la vie, Folio n° 315, p. 31.
Et toc.
Cher Doc’Thib,
c’est en trainant sur les liens utilisés par mon frère pour réaliser son analyse financière du cas papeterie que je suis tombé le thibierge.net…
Mais le hasard a bien fait les choses puisque de toute votre page riche de vos enseignements, je n’ai cliqué que sur le thibierge pas net et je me suis régalé.
Bien que trop avancé dans la soirée pour rédiger une correspondance digne de vos écrits, je vous donne néanmoins rendez-vous dans un prochain post.
YoG
Cher YoG, je vous attends de pied ferme. Le blogthib est ouvert 24h/24, et l’on se souvient de ses conversations après coup 😉
Docthib