J’avais déjà dit que quand je lisais du Erri De Luca, cela me lavait de ma journée.
But Steinbeck rejuvenates me.
(ce qui n’est jamais perdu, la veille d’un marathon 😉 )
J’avais déjà dit que quand je lisais du Erri De Luca, cela me lavait de ma journée.
But Steinbeck rejuvenates me.
(ce qui n’est jamais perdu, la veille d’un marathon 😉 )