L’autre jour, j’entendais un analyste dire que sur certains titres boursiers, il fallait bourrer la cabane.
Voilà une expression qui me plaît bien, tiens, « bourrer la cabane ».
Alors voyons : 500 g de spaghettis secs, ça fait… ah ouais, je me suis enfilé 1,5 kg de pâtes cuites. Tu m’étonnes que j’en sois à prendre une tisane maintenant. Et après avoir bossé un peu, hop, je vais me boire mes nouilles liquides (mon sperm bull, comme disent mes amis (?) coureurs) dont l’étiquette me précise obligeamment que 150 g de poudre blanche diluée dans 1 litre d’eau et ingurgitée progressivement, c’est l’équivalent de 650 g de pâtes.
Bourrer la cabane…
Sophia Loren disait : "Tout ce que vous voyez, je le dois aux spaghettis."
Mais en même temps, on ne connaît pas son temps au marathon, hein. 🙂