- Opération Bonhomme de Neige accomplie. Ils m’étonnent, tous ceux qui se plaignent du froid, de la neige et du verglas. Un hiver, c’est fait pour être froid, non ? Moi, quand y a de la neige (et c’est rare), je fais des bonhommes de neige.
- Barbarisme. Ce matin, sur FIP, « c’est définitivement le meilleur etc. ». Nan. Definitely, c’est « tout à fait », ou « finalement », c’est pas « définitivement ». Idem pour Ultimately. Ultimately, c’est pas « ultimement ». Ultimately, c’est « finalement », c’est pas « au point ultime ».
- Les téléphones portables nous font frire la cervelle. J’ai vu une émission qui déconseillait de garder le téléphone près de son oreille tant que le correspondant n’avait pas décroché (bref, d’utiliser le kit piéton). Hier, le chauffage de l’école de mes enfants était en rade, donc j’ai contribué à appeler les différents parents… depuis mon téléphone portable collé à mon oreille. Est-ce psychosomatique parce que je pensais à cette émission ? Le tout est que j’ai commencé à avoir un début de migraine au bout de 10-15 appels. (NB : voilà ce qui m’exposait le plus, je pense : une succession de personnes que j’appelle, donc qui décrochent. Ne me demandez pas pourquoi la cervelle frit plus quand le correspondant décroche, je ne sais pas.)
La cervelle frit plus parce que le telephone envoie des données aux antennes du réseaux à pleine puissance afin de pouvoir estimer la puissance nécessaire pour la communication. Cette phase s’effectue au tout début de l’appel, avant même que l’on n’entende la sonnerie d’attente. Voilà pour un éclaircissement très grossier.
Grossier toi-même ! 😉
Merci, Telecom Addict, c’est clair pour un non ingénieur comme moi. Et au passage, merci d’avoir validé l’idée que ça crachait plus à ce moment-là.
Y’as pas de quoi 🙂