Je suis en train de travailler à la relecture de mon « monument » (je ne le qualifie pas comme tel, c’est ce qu’un collègue m’a écrit dans une dédicace reçue ce matin), et je tombe sur un passage que j’avais traduit de manière un peu enlevée :
Vous apprenez que les ingénieurs ont pris du retard dans la mise au point du projet. Ils pensent que « ça va marcher du tonnerre » mais admettent qu’il y a « oune petite risque » que cela ne marche pas.
Brealey, Myers, Allen, Principes de gestion financière, 8ème édition, Pearson Education France, p. 239.
Je suis amusé, et reconnaissant, de la liberté que l’éditeur m’a laissé (ou alors le correcteur n’a rien vu, comme ici).
Doc, peut-être est-ce aussi pour ça que l’on vous laisse/(demande) écrire/ (de traduire) ce monument non?
Probablement pas faux 🙂 "C’est un gugusse, y va nous mettre des jeux de mots dans la froideur stérile de la finance moderne".
C’est a peu prés ce que je me disais oui, mais avec un terme moins péjoratif que "gugusse".
On peut aussi trouver " … dans la langue de Spiderman " dans votre "monument" et bien d’autres dont je ne me souviens plus. Vous comprenez, j’ai préféré retenir les différents ratios et ce que vous nous avez enseigné en Mathématiques financières (en croyant que ça allait me servir, mais non).
Hélas, trois fois hélas. Je compatis sincèrement. Mais notez que, si vous aviez retenu "dans la langue de Bruce Springsteen" et autres fariboles, ça ne vous aurait pas plus servi…