Je ne sais pas si c’est l’effet du marathon, de la fin de mon cours d’analyse financière et boursière ou de la présence de certains pénibles à mon travail, mais je me sens un peu flappi. Le ludion hystérique en salle de cours est loin, le philosophe débonnaire est aux abonnés absents, reste juste un être humain, pétri de contradictions, et aspirant à la simplicité. C’est pas donné. Donc il faut recourir aux grands remèdes : une location de vacances dans un lieu déserté mais face à la mer ; une maison de 7 chambres doubles (oui, sept, sans compter les lits individuels) ; une tireuse à bière (j’ai commandé un fût de 20 litres de 1664, on verra au bout de deux jours s’il y a besoin de passer aux fûts de 30 litres) et un percolateur pour les expressos. J’oubliais le plus important : une floppée de copains débarquant en train, chignole, monospace, twingo, ludospace, ford fiesta, coccinelle volkswagen, tricycle. Et tout cela tombe bien, même si je ne leur ai pas dit : lundi, j’aurai 38 ans. Voui, voui, je sais, je ne les parais pas, je me mets des masques de concombre sur le visage chaque matin comme le fêlé d’American Psycho (film que je viens de voir, juste avant L’ge de glace II, et autant L’ge de glace II m’a plu, autant American Psycho m’a semblé enflé et nauséeux comme un pudding cuisiné avec des oeufs de cane atteinte du H5N1). Bref, dans le monde réel des personnes qui ne travaillent pas à Wall Street, on va se boire unes bières à ma santé, et je m’en réjouis d’avance.
J’emporte aussi l’ordinateur portable (enfin, le transportable, celui qui pèse 3 kg), le Nikon D 100, un carnet de notes, le Palm Vx que m’a offert une collègue adorable, et quelques livres, dont le Sébastien Japrisot que je suis en train de lire avec plaisir.
Je sais bien que vous êtes tous/toutes en train de pleurer à grosses bulles, mais il n’y aura pas de thibillet pendant une semaine. Cela vous reposera, et moi aussi. Essayez de vous sevrer, comme j’essaierai de le faire. Hasta la vista.
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Do you like Phil Collins? I’ve been a big Genesis fan ever since the release of their 1980 album, Duke. Before that, I really didn’t understand any of their work. Too artsy, too intellectual. It was on Duke where Phil Collins’ presence became more apparent. I think Invisible Touch was the group’s undisputed masterpiece. It’s an epic meditation on intangibility. At the same time, it deepens and enriches the meaning of the preceding three albums.
Christy, take off your robe.
Listen to the brilliant ensemble playing of Banks, Collins and Rutherford. You can practically hear every nuance of every instrument.
Sabrina, remove your dress.
In terms of lyrical craftsmanship, the sheer songwriting, this album hits a new peak of professionalism.
Sabrina, why don’t you, uh, dance a little.
Take the lyrics to Land of Confusion. In this song, Phil Collins addresses the problems of abusive political authority.
In Too Deep is the most moving pop song of the 1980s, about monogamy and commitment. The song is extremely uplifting. Their lyrics are as positive and affirmative as anything I’ve heard in rock.
Christy, get down on your knees so Sabrina can see your asshole.
Phil Collins’ solo career seems to be more commercial and therefore more satisfying, in a narrower way. Especially songs like In the Air Tonight and Against All Odds.
Sabrina, don’t just stare at it, eat it.
But I also think Phil Collins works best within the confines of the group, than as a solo artist, and I stress the word artist. This is Sussudio, a great, great song, a personal favorite.
Ce film me rend fou…..
Doc, ca y est j’ai rejoint l’univers du blog ! Et comme je suis sympa je vous ai référencé dans mes liens.
Allez donc faire un tour sur
adebains.over-blog.com/