Lever 6h30, zigzag vers la douche, pschhh, résurrection. Une chemise, sanglé dans un costard, étranglé dans une cravate, et un café pour décoincer la glotte.
Départ dans une voiture qui n’est pas la mienne, avec un ordinateur qui n’est pas le mien. Je vais évangéliser les foules, la route est brumeuse, le soleil se lève.
le ciel est donc avec toi
plutôt positif pour un évangélisateur
C’est une remarque bien positive, comme je les aime. Comme disait un écrivain « avec un bon compliment, je peux tenir deux mois ». 🙂