Caillou – 10 AM, 30 grados

C’est au quatrième café
Que se diluent enfin
Les cauchemars pénibles de la nuit.

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Alala, ces coups de soleil…

J’aimerais bien regarder quelle température il fait a Paris, juste pour comparer. Pas de doute, ca valait bien 26 h de voyage. La douche sous les chutes d’Iguazu (photos a venir, ou pas), les coatis, la piscine, les bieres locales. Et la viande, mazette, du vrai bon boeuf élevé dans la Pampa sans rupture de la chaine du froid (vous ai-je parlé de la température ici ?)
Ah, ma fille m’annonce qu’il faut urgemment aller se baigner á la cascade…

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"L’homme de la Pampa, parfois rude, sait rester courtois…"

Je m’en vais. Pour éviter mes désagréments passés, je ferme les commentaires d’ici à mon retour. Ne vous gavez pas pendant les fêtes (dit celui qui va au pays de la viande rouge), ne faites pas de bêtises (dit celui qui va au pays du tango) et reposez-vous (dit celui qui va avoir 26 heures de voyage).

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Sur les quais

Fin d’année fatigante.
Ces grèves SNCF, que je subis depuis 3 jours, ne m’ont pas aidé. J’ai vu, Gare Saint Lazare, des scènes effroyables. Des bousculades, des gens qui descendent sur les voies pour passer sur un autre quai, tant il y a de monde. Des femmes bousculées qui pleuraient. Des cris de personnes qui étaient prises au milieu d’une foule compacte dans laquelle des brutes se frayaient un chemin comme on tranche un membre. Des trains bondés qui se refusaient à partir. En voyant toute cette panique, cet afflux de gens, ces quais noirs de monde, je me suis dit qu’il peut y avoir un problème de responsabilité légale : cette gare était un déversoir de personnes qui arrivaient du métro, et se retrouvaient tassées face à des trains qui ne partaient pas. Et plus les minutes passaient, plus le nombre de personnes augmentait. Rien ne pouvait assurer la sécurité de cette foule. Il y a probablement eu des foulures, des pieds écrasés, des côtes froissées. Je me demande si la responsabilité légale d’une société peut être engagée, en cas où elle fait défaut à assurer la sécurité de ses clients. Il ne s’agit plus ici d’obligation de résultat, ou de moyen, ou encore de service minimum, mais plutôt de sécurité minimum.

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Supplément d’me

Ai (re)vu The Commitments hier soir.
To get out of this deep blue funk I’m in, my present answer : Sun and Soul.
Destination Anywhere, merci à Deezer.

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Le facteur fou a encore frappé

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Promiscuité de la survie

La suite à venir. Ou pas.

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Résilience

You may write me down in history
With your bitter twisted lies
You may trod me down in the very dirt
And still like the dust I’ll rise
Does my happiness upset you
Why are you best with gloom
Cause I laugh like I’ve got an oil well
Pumpin’ in my living room

So you may shoot me with your words
You may cut me with your eyes
And I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise
Out of the shacks of history’s shame
Up from a past rooted in pain
I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise

Now did you want to see me broken
Bowed head and lowered eyes
Shoulders fallen down like tear drops
Weakened by my soulful cries

Does my confidence upset you
Don’t you take it awful hard
Cause I walk like I’ve got a diamond mine
Breakin up in my front yard

So you may shoot me with your words
You may cut me with your eyes
And I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise
Out of the shacks of history’s shame
Up from a past rooted in pain
I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise

So you may write me down in history
With your bitter twisted lies
You may trod me down in the very dirt
And still like the dust I’ll rise

Does my happiness upset you
Why are you best with gloom
Cause I laugh like I’ve got a goldmine
Diggin’ up in my living room

Now you may shoot me with your words
You may cut me with your eyes
And I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise
Out of the shacks of history’s shame
Up from a past rooted in pain
I’ll rise
I’ll rise
I’ll rise

Référence

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Black Out

Dieu se fout de nous.
Ses nuages toxiques polluent notre planète
Asséchant les champs verdoyants
Distillant une suie noire
Qui colonise nos poumons nos bouches et nos yeux.

Nos dents sont noires
Nous sourions édentés
Et nous ne sourions plus.

Tout n’est qu’ennui.
Vide.
Absence.

L’épidémie recouvre le monde qui est dans nos têtes.
Nous sommes mortels, et déjà morts,
Sans la consolation d’un enfer qui nous ferait ressentir
Une douleur.

Le temps n’est plus qu’une litanie immobile
Une boue du quotidien dans laquelle nous stagnons
Dans une torpeur d’hypnotisés.

Nous sommes des rats narcotiques.

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Heimweh

Je bois du thé de Chine fumé.
J’écoute de la musique classique.
Je regarde régulièrement le soleil sur les nuages.
Je réponds à des mails.

Cherchez l’intrus.

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