En 48h de repos forcé, j’ai le temps de réfléchir aux conséquences du lumbago.
- Le premier avantage, c’est qu’avec un lumbago, on marche exactement comme C3-PO. Exactement. C’est merveilleux.
- Le deuxième avantage, c’est que cela conduit à une grande inventivité dans les gestes de la vie courante. Enfiler ses chaussettes, c’est trivial en temps normal, on n’y pense même pas. Mais la combinatoire lumbago + chaussettes devient comme un jeu à la Perec : il y a une contrainte, mais on sait (on sent, plutôt) que ce n’est pas impossible, qu’il doit y avoir une solution. Cela dit, il vaut mieux le faire en ayant du temps, et sans que personne ne soit présent…
- Le troisième avantage, c’est ce côté fataliste auquel on est forcé de se plier : tout est suspendu, on ne sait pas si on va pouvoir honorer ses rendez-vous. Dans mon cas, les 6h de cours demain (+1h30 de transport) vont être une expérience intéressante de lâcher-prise… 🙂
Et bonne année, hein, et la santé avant tout, hein…
Mais c’est absolument si-dé-rant de voir combien tu parles bien de moi !! Si pré-ci-sé-ment ! La veille de la rentrée. Troublant tout de même… Comment fais-tu ? Tu es devenu médium ???
Bonne année, hein ? Et la santé, hein…
😉
En effet, il y aurait beaucoup à dire – et encore plus à interpréter – sur ce syndrome hivernal, qui se répand sans être contagieux, et qui arrive la veille de reprendre le boulot 🙂
Bien remis ? Ça m’a rappelé des souvenirs, et je te souhaite que ça ne dure pas 10 mois (comme moi) ou que ça ne t’oblige pas à la morphine à haute dose (comme mon frère). Rajeunir, c’est la seule vraie solution…
Raisonnablement bien remis… Je ne cours pas, je ne fais pas des bonds, je quitte ma chaise avec précautions, mais ça se remet. Un coup d’osteo la semaien prochaine, et je devrais être OK pour le ski (?) et le semi-marathon de paris (??) 🙂
Sinon, rajeunir tous les jours, c’est une excellente résolution, je m’y mets 😉