Magnolia Express – 1ère partie – # 15

Ceci est une citation à des fins d’illustration musicale (détails ici). Il s’agit d’un extrait, en mono, de Preludin Fugue, par Eric Clapton, sur le CD Rush (B.O. du film), Warner Bros, 1992. Le disque est en vente ici.

Prélude en fugue

Ça faisait longtemps que je cherchais, je commençais à désespérer : je savais qu’il existait quelque part, ce livre, ça faisait si longtemps que je le cherchais. De temps en temps, je tombais sur une phrase, un paragraphe qui me plaisait, quand j’étais petite je les notais dans un cahier, et puis je les relisais le soir dans mon lit, cachée sous la couverture avec juste une petite lampe de poche.

Un soir, nous étions sur la terrasse, avec la prairie pleine d’herbes folles devant nous, et le soleil qui se couchait dans les arbres, loin derrière la rivière.

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Le roman, dans l’ordre, est
.

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0 réponse à Magnolia Express – 1ère partie – # 15

  1. camille dit :

    Doc, doc !!
    quand j’essaie d’accéder aux commentaires de Magnolia express… #14, je ne vois que le premier (celui d’Atchoum), et après :
    Fatal error: Undefined class name ‘dccomback’ in /homepages/16/d152664899/htdocs/dotclear/themes/DocTheme/post.php on line 95

    Atchoum, faut pas faire des commentaires aussi longs, ça fait tout planter !
    (bon en fait si, il faut, ces commentaires c’est une chouette alternative aux notes de bas de page des bouquins… mais alors doc, faut réparer !!)
    et sinon, Magnolia express, je suis bien rentrée dedans… 🙂

  2. Docthib dit :

    Hello Camille,
    content que Magnolia Express te plaise.
    Normalement, l’affichage des commentaires est réglé (mais tiens-moi au courant) et cela n’a rien à voir avec la longueur des commentaires (quand les commentaires sont trop longs, ils débordent juste à l’arrière de l’ordinateur et font des flaques sur le sol. Si tu as les pieds mouillés, c’est que c’est ça. Et que tu es blonde.) 😉

  3. camille dit :

    comme je suis brune, je pensais que les flaques étaient juste dues aux débordements de café les matins de maladresse…
    [il faut que j’arrête maintenant, si je laisse trop de commentaires, je vais finir par être prise par une spameuse par tous ces plugins obscurs]

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