Haïku du vide
Aline n’était ni …, ni …, encore moins …
Aline n’était rien du tout, le court était vide, et je restais avec mon sourire figé, la main sur la poignée de porte grillagée, le court était vide vide vide, silencieux, le filet pendait au milieu, immobile.
Feuilles mortes sur le gravier,
froissement dans la haie.
Je marche dans mes pas.
Roman, publié progressivement, sous un contrat Creative Commons. Et aussi sous licence Touchatougiciel.
Le roman, dans l’ordre, est là.