La fatigue se dissout dans du Chablis

Ce soir, pas loin de l’antre crépusculaire d’un de mes éditeurs, je rencontre Yves Duel, en chair et en os, à peu près conforme au portrait que j’avais imaginé.
J’adore ces discussions à btons rompus, qui commencent sur Hellzapoppin (et pour cause), dérivent vers Laurence d’Arabie en passant par Erri de Luca ou glosent sur l’attraction vénéneuse des (plus si jeunes) professeurs sur les (toujours frémissantes) étudiantes.
Quelques verres de Chablis plus tard, on s’est quittés sur un trottoir de fin de soleil.
Si l’envie ne m’avait pas quitté, ça me redonnerait l’envie de bloguer, tiens : rencontrer un inconnu qu’on connaît virtuellement, et se rendre compte qu’on poursuit une discussion qu’on avait déjà démarré entre deux sites, à deux claviers. Et coup de chapeau, au passage, à Joséphine, Monsieur Jean, et La grande Loulou (ainsi qu’au gang des anciens, mais ceux-là, je les connaissais d’avant).
On est déjà convenus de se reprendre un pot en septembre, en essayant de sortir Ari de son trou…

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0 réponse à La fatigue se dissout dans du Chablis

  1. Ce n’est que partie remise
    De mémoire, nous n’étions pas au Chablis. Mais c’est bien aussi

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