Symbole

Ce matin, dans mon bureau à la maison, j’ai allumé mon ordi (réflexe classique le matin), et après douche-café, hop, installation. Une petite araignée avait fait sa toile entre l’écran et l’étagère. C’est un signe. Je reviens enfin au monde des vivants. Les deux derniers jours, j’ai enseigné 18h, dont 15h en anglais. Hier, début des cours à 8h30, 45 mn pour déjeuner (en anglais), 45 mn de métro vers 17h, dernier cours se finissant à 20h30. Petite journée de 12h, yes.
Hier soir, pizza, bordeaux rouge, Eric Clapton (« reptile ») et Michael Connelly (« créance de sang »). Moment de sérénité dans la nuit.
Je lis aussi un livre passionnant sur la pédagogie (« what the best college teachers do », sacrés américains avec leurs titres ronflants), j’aimerais bien déménager ce blog sous wordpress, j’ai quelques projets en attente, les journées (et nuits) sont courtes. Les mails s’accumulent (mais je suis zen), les copies à corriger s’accumulent (je suis moins zen) et les demandes pour donner des cours s’accumulent (no comment). C’est reparti.
PS : je suis sûr que certain(e)s se posent la question, alors : j’ai attrapé un des fils de la toile, l’araignée a suivi, je l’ai transportée vers la fenêtre, et j’ai accroché son fil à la balustrade. Mauvaise pioche : une araignée deux fois plus petite est sortie furax, elle avait déjà tissé une toile à cet endroit-là. Bah, réinvente-toi, ma vieille, la vie est courte.

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