Je blogue avec…

C’est donc une chaine, du genre « passe la patate bouillante à ton voisin », et c’est Julien qui m’y a collé.
Ainsi, il paraît que vous êtes 1,114,274,426 internautes souhaitant savoir avec quoi je blogue.
Ben avec mes mains, mon bon monsieur.

Et pour plus de précision, voici mes réponses au questionnaire de la chaine :

Qui héberge mon blog : 1&1 depuis le début. J’en ai dit du mal, mais à tort : ils ont toujours été efficients, y compris dans la facturation des Gigaoctets surnuméraires que je leur faisais subir. Je ne resterai peut-être pas chez eux, mais je n’ai rien à leur reprocher.

Sous quelle plate-forme tourne ce blog : Dotclear 1.2.4. Je n’en suis pas entièrement satisfait, et depuis des mois, Julien me nargue avec son WordPress. J’y passerai… dès que j’aurai du temps. Cela me permettra de remettre à jour mon thème, ou plutôt, de démarrer un vrai thème perso (celui que j’utilise est une variante paresseuse et sans personnalité que j’ai faite à partir d’un kit excellement développé par Kozlika, une des flammes de l’équipe Dotclear). Ce que j’aimerais dans une plate-forme : garder la main sur tout ; pouvoir modifier des éléments graphiques sans avoir à me fader du PHP ; avoir trois colonnes ; avec des petits gadgets genre tagcloud ; avoir des stats intégrées (celles de 1and1 n’excluent pas les robots…) ; permettre la gestion des photos sans passer par trois menus différents.
Par ailleurs, un petit truc qui me plaît bien intellectuellement, c’est Blogotext : pas de base MySQL, les billets sont des fichiers texte, donc logistique légère et pas d’embrouille. Mon rêve. C’est probablement celui que j’utiliserai sur mon blog secret.

Editeur de billets : Là, j’ai testé plusieurs trucs, et je continue à alterner suivant mes besoins. L’éditeur de Dotclear est très bien, mais un peu « ligne de commande » (ex : retirer le gras, ou le lien, demande à supprimer les balises à la main). Pour les billets classiques, rédigés au fil de la plume : l’éditeur de Dotclear est parfait, rapide, fonctionnel, et intégré à la plate-forme. Pour les billets longs, mis en forme, où j’ai besoin d’une sauvegarde régulière (automatique…), j’alterne entre Zoho Writer et Google Docs : les deux sont en mode WYSIWYG, et proposent l’export/la visualisation en code HTML. Comme ledit code HTML est parfaitement interprété par Dotclear, je n’ai qu’à faire un copier-coller dans l’éditeur de Dotclear. Un seul regret : ces deux éditeurs n’aiment pas Opera, il faut donc que je les utilise sous Firefox (pas dramatique…) Enfin, pour certains billets qui nécessitent une rédaction hors-ligne, ou une mise en forme particulière (je pense notamment aux nouvelles, ou aux parties de roman…), j’utilise l’excellent éditeur HTML Nvu : c’est celui qui m’a servi à développer quantité de sites web, il est clair et suffit amplement à mes besoins.

Lecteur de flux RSS : Netvibes forever ! Des pages claires, des onglets classés, des post-its dans lesquels j’ai mis mes liens indispensables, c’est ma maison virtuelle, mon marque-pages dynamique, mon écran sur le monde. Un peu addictif, certes, mais il me suffit de tourner la tête pour regarder le ciel et les nuages (chez moi ou au bureau).

Promotion de ce blog : Je n’utilise aucun référenceur, aucun tag Technorati, je ne me fais pas spécialement connaître. Je trouve que ces outils sont bien compliqués (j’ai regardé, quand même, hein) et je n’ai pas le temps d’apprendre à les utiliser.

  1. Je ne suis pas sûr que je serai plus heureux quand mes contributions seront regroupées avec 1 826 477 autres dans une rubrique Technorati.
  2. Ce blog est flou, donc la notion même de tag est difficile. Je les ai utilisés au début, en me disant que cela me servirait à faire un tagcloud pour moi, mais j’ai laissé tomber pour l’instant.
  3. Me faire référencer, c’est mettre le doigt dans l’odieuse machine des classements, « allez, qui est-ce qui m’a pingué ? », je préfère laisser faire Google, et le buzz. Et si Google ne me trouve pas, et que le buzz ne se fait pas, ben, je décapsule une bière et je bois à la santé de tous ceux qui font les choses par amour de l’art.

Je ne passe le flambeau à personne, car ceux qui m’auraient intéressé ont déjà répondu, ou alors je connais leurs plateformes : des trucs en ligne où l’on n’a jamais à se casser la tête pour aller voir sous le capot. En revanche, s’il y en a qui ont des trucs à me recommander pour gagner du temps et simplifier mes sessions, ils/elles sont les bienvenu(e)s.

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